Ludiques et intelligents : 2 calendriers de l'Avent en ligne

On est loin des images pieuses à l'origine des calendriers de l'Avent ou des chocolats dans leurs versions laïques commerciales... Désormais les calendriers de l'Avent se déclinent aussi en version numérique et permettent d'offrir une surprise par jour, quelqu'en soit le domaine. On clique sur la date et on obtient la surprise du jour : ce peut être une image, une info, un jeu, un lien web, etc. En voici deux qui peuvent intéresser la communauté universitaire.

Ludique et intelligent : un calendrier de l'Avent spécial "Veille d'information"
Une astuce par jour pour mieux chercher de l'info sur le web et faire de la veille dans son domaine. Le "Calendrier de l'Avant Veille" est proposé par Fla-Consultants, éditeur des revues B@ses et Netsources, disponibles dans les abonnements de vos BU. https://huit.re/calendrier-avent-veille

> Utile au quotidien et pour les études. On peut notamment y découvrir le nouveau moteur de recherche académique The Lens, qui vient ainsi concurrencer Google Scholar, Web of Science et Scopus (payants), ou encore Dimensions (récent également).

Des œuvres littéraires bientôt en accès libre ?

"Chaque jour de décembre, découvrons le nom d’un auteur dont les œuvres entreront dans le domaine public le 1er janvier 2019".

Il s'agit des œuvres pour lesquelles les droits d’auteur arrivent à expiration. C'est ce que propose le Calendrier de l'Avent du Domaine Public, réalisé par les membres du collectif SavoirsCom1 : http://aventdudomainepublic.org/

Bonnes découvertes

Semaine du Libre Accès 2017 #3 Diffuser sa thèse sous licence Creative Commons

La semaine de l'Open Access, du 23 au 29 octobre 2017, promeut le dépôt en archives ouvertes dans le domaine de la recherche universitaire.

A cette occasion, on remarquera qu'il est encore anecdotique aujourd’hui, à la consultation de thèses ou travaux de recherche en ligne, de constater qu’elles aient pu faire l’objet du choix d’une licence « Creative Commons » de la part de leur auteur.

C'est pourtant une option pertinente et juridiquement possible pour le doctorant ou le chercheur.

Creative Commons logo on the front of the shirt, par Andy Melton (Flickr/CC)

 

Petit préalable, rappelons ce que sont les Creative Commons. Il s’agit d’une boîte à outil qui supplée le système de protection juridique du droit d’auteur et dans les pays appliquant le droit d'auteir, de Common Law, du ©Copyright – jugé peu souple et inadapté aux usages numériques actuels (copie, réutilisation, modification). Cet ensemble de licences est proposé par l’organisation non-lucrative Creative Commons, animée par des volontaires du web participatif. En guise de résumé, le schéma ci-dessous précise les options possibles, de la plus ouverte (CC0, soit le domaine public ou le copyleft) à la plus restrictive (paternité de la création, non réutilisation commerciale, reproduction sans modification).

 

Les différentes options de licence Creative Commons

A noter que si la licence Creative Commons est purement déclarative (de l'auteur à son lecteur), elle se plie aux articles du Code de la propriété intellectuelle (articles L. 123-1 à 12 et exceptions prévues aux articles L. 132-19 et L. 211-4). C’est principalement sur la cession ou le renoncement aux droits de cession que les licences CC changent la donnent, mais aussi sur le droit moral de l’auteur sur son œuvre.

En 2006, Mathias Klang, responsable du projet Creative Commons pour la Suède prouvait son attachement total à ce système de licences CC, en diffusant sa propre thèse sous licence Attribution-Non commercial-Sharealike 2.5. Autrement dit, il s'agit d'une licence très restrictive, tandis que le contenu de la thèse en lui-même reste sous copyright.

Licence CC apposée sur la page de titre de la thèse de Mathias Klang "Disruptive technology : effects of technology regulation on democracy" (Université de Göteborg)

Sachez, chers doctorants, que si vous n’avez pas envisagé un contrat d’édition commerciale ou une publication en revue scientifique imposant un embargo, vous pouvez diffuser vos travaux sous licence Creative Commons. Il n’y a pas a priori de contradiction avec le dépôt et la diffusion de la thèse dans HAL et son signalement dans Theses.fr et le Sudoc. Logiquement, l’université de tutelle exigera de vous que la thèse ne puisse pas être amendée par un tiers (reproduction et partage à l’identique).

Si certaines universités ont fait le choix d’une incitation forte ou d’une obligation (c’est plus rare), vous êtes libre de définir plus précisément les termes du contrat que vous passez avec votre potentiel lecteur.

Contrat 1 : Paternité - Pas de Modification (toute personne utilisant votre thèse devra mentionner le nom de son auteur et ne pourra ni modifier, ni transformer, ni adapter cette création)

Contrat 2 : Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification (toute personne utilisant votre thèse devra mentionner le nom de son auteur et ne pourra ni modifier, ni transformer, ni adapter, ni utiliser cette création à des fins commerciales).

 

 

Creative Commons est une organisation à but non lucratif qui a pour dessein de faciliter la diffusion et le partage des oeuvres tout en accompagnant les nouvelles pratiques de création à l’ère numérique.

Les thèses dont l’auteur a autorisé la diffusion sur Internet sont accessibles à partir du portail UPhD et protégées par la « licence Creative Commons Attribution - Pas de Modification 3.0 France » (http://creativecommons.org/licenses/by-nd/3.0/fr/ ) et par la licence  « Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France » (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/fr/) en fonction du choix de l’auteur de la thèse, ou par l’une des six autres licences définies par Creative Commons choisie par l’auteur.

 

En ce qui concerne les travaux universitaires, la licence CC la plus couramment employée est CC-BY-NC-ND : toute personne utilisant l’oeuvre doit mentionner le nom de son auteur. Il est possible de la reproduire et la diffuser librement, mais uniquement dans sa version originale (pas de modification, traduction etc. sans autorisation de l’auteur), et uniquement dans un but non commercial.
Si vous souhaitez favoriser la diffusion de votre thèse, tout en la protégeant au maximum, nous vous conseillons cette option de diffusion. Il vous faudra alors en avertir la Bibliothèque universitaire au moment de votre dépôt, et intégrer la mention de la licence choisie dans tous vos pieds de page.

 

Pour définir précisément les usages autorisés sur son œuvre diffusée sur internet il est recommandé à l’auteur de la placer sous une des licences Creative Commons

 

Pour conclure, les doctorants et les chercheurs ont les mains libres pour choisir un contrat Creative Commons. En effet, tout comme les dispositions juridiques ne peuvent contraindre un doctorant à publier sa thèse sur Internet, elles ne peuvent le contraindre à l'adoption d'une licence Creative Commons (pas plus, qu'en théorie, il ne peut le contraindre au ©copyright). Si une licence CC n'est pas choisie, c'est par défaut que s'appliquera le droit d'auteur (mention "Tous droits réservés"). L'accord de l'auteur devra donc être obtenu pour toute reproduction et représentation. (Code de la propriété intellectuelle, art, L.122- 1).

Il suffit, pour ce faire, de bien définir en amont (et en cohérence avec les règles de l'université de soutenance)  les critères qui présideront à la diffusion de ce travail dans sa version immatérielle et d'en générer la licence CC la plus appropriée.

Des livres numériques en libre accès sur JSTOR

Principalement connue pour ses archives de revues scientifiques, en sciences humaines, littératures, mathématiques, sciences politiques, etc., qui viennent bien souvent compléter nos abonnements courants aux revues des grands éditeurs scientifiques, la plateforme web JSTOR propose également des livres numériques.

Et depuis quelques semaines, JSTOR propose environ 500 livres numériques en accès libre (open access), dans tous les thèmes. Par exemple la collection des Presses universitaires australiennes aborde les questions aborigènes, économiques, de science politique, les SHS, les sciences et techniques. L'accès est gratuit. Le référencement dans notre propre moteur de recherche est prévu pour la rentrée.

>> Accès et liste des titres des livres numériques concernés : https://about.jstor.org/open-access?cid=eml_jb_BooksNewsletter_03_2017 

>> Voir également : accès à la plateforme JSTOR incluant notre abonnement aux revues en ligne (accès UnivRéunion avec vos logins numériques)

Cultures ouvertes du samedi La Compile #web et #littérature

Compilation de nos 3 derniers rendez-vous hebdomadaires autour des "Cultures ouvertes / OpenCulture" proposés le samedi sur Twitter et Facebook.  Sommaire de ce numéro : l'écrivain sur la toile" :

Une série en plusieurs actes, à suivre chaque samedi sur lesdits réseaux cités plus haut 🙂
I : Déambuler : expériences et vagues à l'âme.
II : Remixer : jouer avec les auteurs et les oeuvres.
III : Ecrire : nouvelles pratiques d'écritures ?.

Acte I. Déambuler

Expériences -- d'écrivains ou d'éditeurs --, redécouvertes d'auteurs "classiques", des pistes pour penser l'écriture.

Revenir. "Depuis quelques temps, je reviens sur mes pas."

Marcher. "Marcher dans Google Maps", une expérience proposée par Nicolas Morin, au fil des rues photographiées par le célèbre géant d'internet. On change de texte comme on tourne le coin d'une rue. Copie d'écran du kilomètre zéro, le départ :

nicolasmorin_marche

Arpenter. Brouillon pour un atlas, une belle expérience oulipienne proposée par Michèle Audin

oulipo_atlas2015-03-05_172217

Souffrir, avec Virginia Woolf.

Souffrir, encore, avec Roland Barthes

Habiter, avec François Bon

Habiter, encore : "De Julien Gracq comme un site web"

(repérés sur twitter via @cjeanney et @sergebonnery)

 Ecrire et expérimenter

Ecrire le temps : un magnifique billet sur le temps, le sable, les recettes de cuisine et la "théorie de la formation des dunes mobiles".

Quelques références
Relire Virginia Woolf : en ligne - en papier
Relire Roland Barthes : en ligne (articles scientifiques) - en papier (oeuvre complète)
Oulipo ? demandez à Wikipedia!
Elisée Reclus sur Gallica : textes, images, etc. ("Histoire d'un ruisseau", etc.)

Acte II. Remixer, ou jouer avec les auteurs et les œuvres 

Culture du remix. La culture du remake (ciné), du remix (musique) ou autres mash-up (numérique) n'est certes pas propre au web mais le web s'en fait largement l'écho en accélérant la diffusion des créations hybrides : il invite au partage et invite à la création.

Remixer, ou l'art de faire (re)découvrir les oeuvres et leurs auteurs

FB_ClementileMelois

A la recherche des pépites du web. Certains se spécialisent dans la recherche des trésors ouverts du web...

  • Le blog de Gallica (à compléter par les comptes Twitter, Facebook, Pinterest)
  • The Public Domain Review, pépites des oeuvres libres de droit (textes, images, etc.)
  • OpenCulture, "the best free cultural & educational media on the web", annuaire
  • et plein d'internautes qui signalent au fil de leur navigation internet leurs découvertes.. A retrouver sur les réseaux sociaux (suivez-nous pour en découvrir)

et d'autres disséminent les textes.. ou guettent leur libération !

S'il fallait trouver un point commun entre toutes ces initiatives, il est simple : favoriser la circulation des œuvres pour favoriser leur réemploi (vilain terme désignant au hasard plaisir, connaissance, lecture, partage...) dans le but de favoriser la création. C'est toute la thématique des rendez-vous "Cultures ouvertes" / #openculture qu'on vous propose ici.

Acte III. Nouvelles pratiques d'écritures... et de lectures !

Ecrire avec Twitter. Contraintes et poétique de l'immédiat.

  • Blog d'enseignant-chercheur sur Twitter comme pratique d'écriture

Ecrire en blog. Immédiateté et liberté d'un format libre. Nombreux sont les auteurs qui se sont emparés des facilités de publication en ligne, comme les blogs, pour écrire et proposer leur texte sur internet. Nouvelle temporalité d'écriture, immédiateté (ou pas), intéraction (ou pas), invitation au retour sur soi... Autant de contraintes et de présupposés avec lesquels jouer, autant de libertés à exercer (autopublication, texte illimité, etc.).

  • L'Auto-fictif d'Eric Chevillard (qui fait l'objet de diverses publications imprimées)
  • Trouvez-en un puis tirez le fil des blogs compagnons qu'il propose, et tirez encore.

Ecrire avec Wattpad : facile, par épisodes et avec intéraction. Prolongement des précédents, Wattpad propose une publication immédiate et intuitive, à l'image des grands réseaux sociaux généralistes, avec pour spécialité : les textes par épisodes, ceux que j'écris, que je lis, ou que je partage. Le Skyblog modernisé, en quelques sortes, mais clairement orienté textes. Le succès médiatique du moment : les fan fictions, ou "fanfic" Anna Tod (USA).

source : wattpad

source : wattpad

Les fan fictions. Si l'on peut dater la naissance des "fanfictions" modernes vers la fin des années 60 autour de Star Treck et des fanzines, le phénomène prend un nouvel essor avec les possibilités de création et diffusion numérique : en témoigne le grand succès de la jeune texane Anna Todd et de ses 4 romans tapés et diffusés jour après jour sur Wattpad depuis son smartphone, en hommage au boysband "One Direction". On est loin de l'univers premier de la SF, de usenet et des communautés pré-geeks des années 80. Un tirage à 180 000 exemplaires en France, soit plus que le dernier Houellebecq (source)

Alors, le grand décloisonnement ? Mélanger auteurs, éditeurs, lecteurs. On pense à ces sites web qui décloisonnent et proposent textes, expériences, photos, paroles, et leurs prothèses tangibles (le livre imprimé, l'epub immatériel mais téléchargeable). Comme le Tiers Livre, porté par François Bon, auteur actif sur le net et les réseaux sociaux. On pense à l'expérience proposée par l'éditeur Publie.net / Publie.papier en partenariat avec des auteurs et des bibliothèques : retour sur l'opération #100bibs50epubs.

Intéragir avec l'auteur, est-ce si nouveau ? Commenter, liker, plussoir (+1), répondre, répondre au com', répondre au com du com du com... La revue Le Tigre démontre que cela existait déjà avant : "Le web du XVIIe siècle", un excellent et réjouissant article de Laetitia Blanchi qui commence ainsi : "Parfois je lis de la littérature sur internet". Un régal !

Réinventer le feuilleton ? L'engouement pour les séries (TV) s'affirme aussi en mode texte : après avoir observé le retour du feuilleton journalistique dans la presse magazine (Le Tigre, dès 2008) puis dans la presse quotidienne (la série "Ecocide" du Monde), on constate la multiplication des expériences de diffusion payante d'oeuvre par épisode :

Faut-il alors conclure aux simples effets de modes ou aux réelles innovations ? ... Les deux mon capitaine ! Bien sûr qu'il y a de la stratégie derrière l'engouement pour les feuilletons : la série permet de fidéliser (les chaînes télé l'ont bien compris). Cela dit, par delà le modèle commercial (qui concerne les éditeurs et les plateformes de publication en ligne comme Wattpad, Facebook, les blogs etc.), deux mouvements de fonds s'amplifient, qui parlent de la création aujourd'hui, irrigués par les nouvelles pratiques d'écriture et de lecture. Pour l'auteur, c'est l'écriture web, qui mêle des traditions textuelles éparses (le fragmentaire, le diaristique, le roman, le récit de voyage, l'aphorisme...) en des expériences littéraires qui dépassent le livre : déambulation, esthétique multimédia, etc.

"On vous parlera toujours du « livre », mais longtemps qu’il n’est plus l’horizon unique de notre travail"

Parce qu'elle sert de base au législateur lorsqu'il veut protéger la création littéraire (interdiction des offres illimitées, TVA identique, subvention), la référence unique au livre finit par brider toute création qui s'en affranchit. Le piège est grand d'opposer écriture traditionnelle et écriture web alors qu'en réalité les deux pratiques conversent. C'est l'analyse que développe François Bon dans un texte dense et clairvoyant (dont est extrait la citation plus haut). Pour le lecteur, c'est aussi tout l'enjeu de sa propre identité numérique qui s'exprime à travers l'accumulation affichée de lectures (et de likes). Passeurs des temps modernes, de jeunes booktubers postent sur Youtube leurs coups de cœur de lectures. Facebook a aussi créé son club de lectures. Le web, média de diffusion efficace et viral, est un accélérateur de pratiques : parce qu'il facilite l'accès à des nouveaux acteurs dans le jeu de la création, côté lecture (commenter, intervenir) comme côté écriture (immédiateté, remix, contraintes), il rend parfois la séparation entre les deux bien théorique.

Cultures ouvertes du samedi #14/03/2015 L'écrivain sur sa toile Acte II Remixer

Crédit photo : opensourceway, "MIX: Gary Hamel's experiment in reinventing management the open source way", licence CC-BY-SA

Comme chaque semaine, voici le résumé de notre rendez-vous "Cultures ouvertes/ OpenCulture" du week-end proposé sur Twitter et Facebook. Suite de notre série "L'écrivain sur la Toile" (inspiré de ce tweet)

I : Déambuler : expériences (samedi 7 mars 2015)
II : Remixer : jouer avec les auteurs et les oeuvres.  (samedi 14 mars 2015)
III : Ecrire : nouvelles pratiques d'écritures ?  (samedi 21 mars 2015)

Acte II. Remixer, ou jouer avec les auteurs et les œuvres 

Culture du remix. La culture du remake (ciné), du remix (musique) ou autres mash-up (numérique) n'est certes pas propre au web mais le web s'en fait largement l'écho en accélérant la diffusion des créations hybrides : il invite au partage et invite à la création.

Remixer, ou l'art de faire (re)découvrir les oeuvres et leurs auteurs

FB_ClementileMelois

A la recherche des pépites du web. Certains se spécialisent dans la recherche des trésors ouverts du web...

  • Le blog de Gallica (à compléter par les comptes Twitter, Facebook, Pinterest)
  • The Public Domain Review, pépites des oeuvres libres de droit (textes, images, etc.)
  • OpenCulture, "the best free cultural & educational media on the web", annuaire
  • et plein d'internautes qui signalent au fil de leur navigation internet leurs découvertes.. A retrouver sur les réseaux sociaux (suivez-nous pour en découvrir)

et d'autres disséminent les textes.. ou guettent leur libération !

S'il fallait trouver un point commun entre toutes ces initiatives, il est simple : favoriser la circulation des œuvres pour favoriser leur réemploi (vilain terme désignant au hasard plaisir, connaissance, lecture, partage...) dans le but de favoriser la création. C'est toute la thématique des rendez-vous "Cultures ouvertes" / #openculture qu'on vous propose ici.

>> A suivre : prochain RDV de la série "L'écrivain sur sa toile" : Acte III. Nouvelles pratiques d'écritures... et de lectures !

Crédit photo : opensourceway, "MIX: Gary Hamel's experiment in reinventing management the open source way", licence CC-BY-SA

Cultures ouvertes du samedi #07/03/2015 L'écrivain sur sa toile Acte I Déambuler

Crédit image : opensourceway, How to build a sustainable nonprofit the open source way", licence CC-BY-SA

Comme chaque semaine, voici le résumé de notre rendez-vous "Cultures ouvertes/ OpenCulture" du week-end proposé sur Twitter et Facebook. Au sommaire de ce numéro : l'écrivain sur la toile" :

Une série en plusieurs actes, à suivre chaque samedi sur lesdits réseaux cités plus haut
I : Déambuler : expériences et vagues à l'âme.
II : Remixer : jouer avec les auteurs et les œuvres.
III : Ecrire : nouvelles pratiques d'écritures web ?

Acte I. Déambuler

Expériences -- d'écrivains ou d'éditeurs --, redécouvertes d'auteurs "classiques", des pistes pour penser l'écriture.

Revenir. "Depuis quelques temps, je reviens sur mes pas."

Marcher. "Marcher dans Google Maps", une expérience proposée par Nicolas Morin, au fil des rues photographiées par le célèbre géant d'internet. On change de texte comme on tourne le coin d'une rue. Copie d'écran du kilomètre zéro, le départ :

nicolasmorin_marche

Arpenter. Brouillon pour un atlas, une belle expérience oulipienne proposée par Michèle Audin

oulipo_atlas2015-03-05_172217

Souffrir, avec Virginia Woolf.

Souffrir, encore, avec Roland Barthes

Habiter, avec François Bon

Habiter, encore : "De Julien Gracq comme un site web"

(repérés sur twitter via @cjeanney et @sergebonnery)

 Ecrire et expérimenter

Ecrire le temps : un magnifique billet sur le temps, le sable, les recettes de cuisine et la "théorie de la formation des dunes mobiles".

Quelques références
Relire Virginia Woolf : en ligne - en papier
Relire Roland Barthes : en ligne (articles scientifiques) - en papier (oeuvre complète)
Oulipo ? demandez à Wikipedia!
Elisée Reclus sur Gallica : textes, images, etc. ("Histoire d'un ruisseau", etc.)

A suivre : Acte II : Remixer :  ou comment jouer avec les auteurs et les œuvres.

Crédit image : opensourceway, "How to build a sustainable nonprofit the open source way", licence CC-BY-SA

Cultures ouvertes du samedi #28/02/2015

gallicaComme chaque semaine, voici le résumé de notre rendez-vous "Cultures ouvertes/ OpenCulture" du week-end proposé sur Twitter et Facebook. Au sommaire : les trésors du patrimoine librement accessibles à tous avec Gallica : http://gallica.bnf.fr épisode 2. Pour retrouver le précédent épisode sur Gallica, c'est ici.

Images de la presse féminine. Une plongée en images et en texte... avec les publicités de l'époque à savourer.
> Toute la presse féminine numérisée par Gallica

Images de la presse enfantine. Après plusieurs épisodes consacrés au dessin de presse et à la presse satirique, on poursuit l'exploration avec ces pages numérisées de la presse enfantine. Quelques titres cultes, et d'autres moins connus.
> Toute la presse enfantine numérisée sur Gallica

Trésors de l'Océan indien : la presse malgache. Un petit clin d'oeil aux amis malgaches avec cette revue d'automobile qui fait partie de la grande bibliothèque numérique nationale de France : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5599257z/f11.image
> Tous les journaux de Madagascar numérisés sur Gallica

Trésors de patrimoine : tatouages criminels. A l'occasion de l'expo Tous Tatoués du Quai Branly à Paris, Gallica propose une sélection sur "un sujet d’étude méconnu du XIXe siècle, l’analyse des tatouages criminels". A retrouver sur le blog de Gallica, avec des liens vers les photos et livres numérisés tous librement accesibles sur le net (c'est #openculture!) :
> Tatouages criminels sur Gallica.

Photos de spectacles : "les artistes brûlent les planches".. Pour clore le RDV #openculture du week-end, on s'envole un peu avec les arts du spectacle. Opéra, cirque, cinéma, danse, mime...
> Collection des photos de spectacle

Toutes ces collections de presse, photos, albums jeunesse, etc. sont en libre accès sur internet : un patrimoine culturel à explorer gratuitement sur Gallica, la bibliothèque numérique nationale de France (si vous ne l'aviez pas compris encore 🙂  )

Pour continuer la découverte, abonnez-vous aux news : chaque jour Gallica dévoile des trésors issus des collections nationales numérisées : via le blog Gallica, via Facebook, via Twitter. Pensez-aussi à nous suivre : abonnement au blog en bas de page, et suivez-nous sur nos comptes Facebook BU et Twitter bu974 !

>> Retrouver tous les autres RDV Cultures Ouvertes / OpenCulture avec le tag openculture.

Cultures ouvertes du samedi #21/02/2015

gallica

Comme chaque semaine, voici le résumé de notre rendez-vous "Cultures ouvertes/ OpenCulture" du week-end proposé sur Twitter et Facebook. Au sommaire : les trésors du patrimoine librement accessibles à tous avec Gallica : http://gallica.bnf.fr.

 

Images de bestioles en tout genre. A l'occasion de la journée de la baleine jeudi dernier, Gallica a posté sur son compte Facebook une savoureuse sélection de baleines médiévales.

Presse satirique. Retrouvez les dessins de la presse satirique numérisée par Gallica ici : http://gallica.bnf.fr/html/presse-et-revues/presse-satirique

La France en cartes Une collection de cartes numérisées de toutes dates, à découvrir par date ou par région. Dans la France, il y a les DOM-TOM, et dedans La Réunion !

I. do Mascarenhas
I. do Mascarenhas Source: gallica.bnf.fr


Côté son : chants de matins

 

Curiosités livresques : Les livres d’anatomie à travers les siècles
Pour finir en beauté ce rendez-vous "Cultures ouvertes /OpenCulture" du week-end, voici quelques curiosités pour les amateurs : Les livres d’anatomie à travers les siècles.
Une série en 2 épisodes à retrouver sur le blog de Gallica, avec liens directs vers les planches anatomiques et les livres numérisés librement accessibles sur internet. "Bibliothèque numérique nationale de France", on vous dit. Gallica.

 

 

Pour continuer la découverte, abonnez-vous aux news de Gallica : chaque jour Gallicadévoile des trésors issus des collections nationales numérisées : via le blog Gallica, via Facebook, via Twitter. Pensez-aussi à nous suivre : abonnement au blog en bas de page, et suivez-nous sur nos comptes Facebook BU et Twitter bu974 !

>> Retrouver tous les autres RDV Cultures Ouvertes / OpenCulture avec le tag openculture.

Cultures ouvertes du samedi #14/02/2015 Actualité de la liberté de la presse

Crédit photo : Presse, par "Blue-new.org" , licence CC BY-SACrédit photo : Solidaridad con CharlieHebdo, d'Adolfo Lujan licence CC BY-NC-SA

Un peu de culture libre ce week-end ? c'est parti pour le RDV "openculture" du week-end. Thème : Actualité de la Liberté de la presse.

Plus que jamais depuis les attentats de janvier, la liberté de la presse est de tous les débats : défense de la liberté d'expression, défense de la liberté de conscience (religions), lutte contre le terrorisme (vers un patriot act à la française?), compétitivité des entreprises nationales (secret des affaires), droit de la propriété intellectuelle (plagiat), statut juridique des lanceurs d'alertes, etc. Petit tour d'horizon de l'actualité récente sur la liberté de la presse.

Liberté de la presse, liberté d'expression, liberté de conscience, limites aux libertés

Liberté d'informer vs Enjeux supérieurs (de sécurité, d'impératifs économiques...). Faut-il tout dire tout de suite au risque de saper des négociations "secrètes" en cours ? Evoquer la sécurité nationale (ou économique d'une entreprise) n'est-il pas un moyen de museler les médias et d'éviter les sujets qui fâchent?

De l'importance des lanceurs d'alertes (et de leur protection) Pour être informés et informer à leur tour, les journalistes s'appuient souvent sur des citoyens qui jouent le rôle de vigie et d'alerte. Salariés d'entreprise, victimes, associations, etc., ces "lanceurs d'alerte" risquent souvent leur vie (réputation, harcèlement, licenciement, problèmes judiciaires, voire pire). Quelques lectures utiles pour cerner les enjeux :

Liberté de la presse et propriété intellectuelle. Les accusations de plagiat ou l'art de bien citer ses sources : retour sur la récente polémique sur des "oublis" de citation de sources.

Pour conclure... L'indépendance des journaux ? Investissement des géants des communications dans la presse, financement par la publicité, modèles économiques de la presse, plans sociaux. Quelques pistes pour favoriser l'indépendance :

Voir aussi :

Crédits photos : Presse, par Blue-new.org, sous licence CC BY-SA ; Solidaridad con CharlieHebdo, d'Adolfo Lujan, sous licence CC BY-NC-SA

Cultures ouvertes du week-end #08/02/2015

Ce week-end, on a choisi de décaler d'un jour notre RDV hebdomadaire "Samedi c'est ‪#‎OpenCulture‬" pour vous accueillir sur le net malgré la grande maintenance de la BU numérique dimanche passé. Compte-rendu de notre dernier #OpenCulture, donc :

Ouvrir la Recherche ? Pour qui ? Pour quoi ? Mais qui peut bien vouloir accéder aux publications scientifiques, en dehors des chercheurs et des étudiants ? Un site web spécialement conçu pour l'occasion en dresse la liste. Une liste qui donne à réfléchir : http://whoneedsaccess.org/

Capture d'écran du site Whoneedsaccess le 08/02/2015

Elargir les accès, cela amène forcément à s'intéresser à l'édition scientifique, dont ses modèles économiques...

La fusion Springer / MacMillan. Petit retour en arrière sur l'un des grands événements dans le monde de l'édition scientifique : la fusion Springer Science / MacMillan (qui publie notamment la célèbre Revue Nature).

Concentration et monopole

Vers un quasi monopole des services dédiés aux chercheurs ? Sans Elsevier et Springer-MacMillan, point de salut pour le chercheur en quête d'outils qui simplifient son quotidien ?

La concentration éditoriale continue :

Côté chercheurs, concrètement, quels sont les coûts ? Quelques chiffres sur...
Les frais de publications http://t.co/xKGyZJUb1W

Les coûts d'accès aux publications : relire notre billet "Le coût de la connaissance"

Quelles alternatives pour ouvrir la Science ? Quelques pistes...

    • Publier ET déposer ses articles dans une "archive ouverte", pérenne, comme HAL. En savoir plus : Publier en Open Access ; tous les billets sur le sujet ici.
    • Comment faire ? la BU vous aide !

En savoir plus sur HAL et les archives ouvertes

En guise de conclusion... Comment ne pas évoquer ce qui est souvent la première publication d'un jeune chercheur : la thèse. Et si votre thèse était votre 1e publication en open access ? relire notre billet spécial Doctorants. 

>>> Retrouvez ici tous nos articles sur l'Open Access et sur l'OpenCulture.

Cultures ouvertes du samedi #31/01/2015

Opensourceway, sur FlickR, licence CC BY-SA

Bon lundi ! Les BU étaient fermées ce samedi mais elles ont quand même joué au "Samedi c'est ‪#‎openculture‬" sur les réseaux sociaux. Un peu de littérature cette semaine. Compte-rendu :

Trouvailles littéraires sur le net

La littérature dans la poche : lire en ligne et télécharger les textes

Voici quelques sites où trouver les textes littéraires, français ou autres. A savoir : seuls les textes "libres de droit" sont librement accessibles sur internet. Les autres restent payants (ou piratés).

Crédit photo : eBooksAlexander Pfeiffenberger, licence CC-BY, sur FlickR

Enfin, 2 ovnis à tester sur le net

  • Text Clock, l'horloge parlante qui remixe le domaine public (patientez quelques secondes pour le chargement) 
  • Poetweet, et les tweets deviennent poèmes...
    (repérés sur l'excellent ActuaLitté)
"it is eight minutes past eleven o'clock in the morning"

Capture d'écran de Text Clock : "it is eight minutes past eleven o'clock in the morning"

 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo : Opensourceway, sur FlickR, licence CC BY-SA et eBooks d'Alexander Pfeiffenberger, sur FlickR, licence CC BY

Cultures ouvertes du samedi #17/01/2015

Dernière livraison du "Samedi c'est ‪#‎openculture‬" avant la réouverture des campus et des BU ce lundi. Cette fois-ci, on privilégie le mode sérieux des universitaires : l'ouverture des sciences.

Opensourceway, licence CC BY-SA

Petite revue des tweets du jour via notre compte @bu974 :

Bonne lecture et n'hésitez pas à faire suivre autour de vous

Cultures ouvertes du samedi #10/01/2015

Les BU sont toujours fermées mais si on reprenait les "Samedi c'est ‪#‎openculture‬", que l'on essaie de tenir sur Twitter via notre compte @bu974 ?

Cette semaine, c'est forcément sous l'angle du deuil national que nous portons tous suite à l'attentat perpétré dans les locaux du journal Charlie-Hebdo dont nous ne mesurons pas encore toutes les conséquences tragiques. Un gilet jaune pour un métier dangereux ?

Crédit photo : Presse, par "Blue-new.org" , licence CC BY-SACrédit photo : Solidaridad con CharlieHebdo, d'Adolfo Lujan licence CC BY-NC-SA

 

 

 

Parce que la culture ouverte implique la libre circulation des œuvres, aux antipodes de la censure, voici pour commencer une infographie sur quelques censures célèbres de livres. De quoi rappeler quelques débats récents en France, sur la littérature jeunesse ou autre. On peut aussi rappeler l'essai féministe de Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe, interdit au Vatican.

En triste écho à l’actualité et en soutien à la liberté d'expression, diverses bibliothèques, universitaires ou municipales, exposent des Unes de Charlie-Hebdo ou des dessins de Cabu, Wolinski, Tignous, Charb, plumes envolées de sa rédaction. Dès la réouverture du 19 janvier, vous pourrez retrouver sur les rayons de vos BU de La Réunion quelques uns des ouvrages ou illustrations de Bernard Maris et ses amis, ou encore le DVD documentaire "C'est dur d'être aimé par des cons", qui retrace l'histoire du procès des caricatures de 2007. En complément, la Bibliothèque nationale rediffuse en outre ce résumé illustré de l'histoire de la caricature, des moines copistes à Charlie Hebdo.

  • Le journal Charlie Hebdo est disponible à l'espace Presse de la BU Droit-Lettres. Pour les numéros plus anciens, demandez-nous.

Enfin, pour prendre du recul par rapport à l'actualité dans une perspective universitaire on peut également signaler ces quelques ebooks librement accessibles en ligne, en version HTML, via OpenEdition.org :

Crédits photos : Presse, par Blue-new.org, sous licence CC BY-SA ; Solidaridad con CharlieHebdo, d'Adolfo Lujan, sous licence CC BY-NC-SA

Cultures ouvertes du samedi #décembre

Le samedi, on essaie de donner quelques pistes pour découvrir et valoriser les cultures ouvertes. Cultures numériques & patrimoine ouvert, dissémination numérique des communs, nouvelles écritures de l'internet, réflexion sur l'ouverture des données publiques... Autant de gros mots avec lesquels jouer le samedi 🙂

Ecritures de l'internet & Ecritures de La Réunion : découvrir Le Chenil, de Laurent Margantin, traducteur de Kafka, disséminateur d'oeuvres ouvertes sur le net, praticien de la Z.E.N (zone d'écriture numérique), écrivain de la Web Association des Auteurs, etc.

Disséminer les écritures, par la Web Association des Auteurs

Disséminer les écritures, par la Web Association des Auteurs, une constellation à découvrir, que l'on soit lecteur ou auteur

Consommateur ET acteur du patrimoine écrit ? Avec Gallica , la bibliothèque nationale numérique, vous pouvez accéder en ligne à des milliers de livres numérisés (et des images et des revues, etc.). Eh bien sachez que depuis quelques jours, vous pouvez aussi devenir acteur et participer aux corrections collaboratives des textes numérisés : testez les corrections et rejoignez le Réseau Correct !

  • Tout savoir sur Correct
  • Gallica existe en ligne et aussi en appli iOS et Android
  • mots clés : crowdsourcing, domaine public, colllaboratif

correct

Jeunes chercheurs, pourquoi publier vos données de recherche?
Un billet en anglais repéré sur Twitter via @Impactstory et @fanny_lalleman : http://thesiswhisperer.com/2014/12/03/ever-thought-of-publishing-your-data/
>> mots clés : opendata, données de la recherche

Spécial STAPS // Kinovea, un logiciel adapté à l’analyse vidéo des pratiques sportives. http://ow.ly/FiXQh Parce que la culture gratuite et l'accès de tous au patrimoine commun concerne aussi les logiciels, petit coup de projecteur sur un logiciel "open source" utile aux stapsiens.  (Open source : logiciel dont le code source est librement accessible et modifiable. Ces logiciels sont la plupart du temps gratuits)
>> mots clés : opensource‬, staps

Dessins animés et patrimoine ouvert : les meilleurs animés selon Terry Gilliam: http://goo.gl/ohYvq (repéré sur twitter via @openculture)

>> Pour plus d'actualités sur les cultures ouvertes : suivez-nous sur Twitter @bu974 : https://twitter.com/bu974

Portraits de chercheurs : Richard Feynman (physique)

Crédit photo : Feynman diagram, par Hollandhoodie, licence Creative Commons BY-ND

Feynman, d'Ottaviani & Myrick.
Un portrait de chercheur à découvrir en BD à la BU SciencesUn peu d'humour, de l'amour -- des sciences et pas que--, de la physique quantique et un petit grain de folie pour montrer les coulisses des travaux de l'un des plus grands scientifiques du XXe siècle : Richard Feynman (1918-1988). De ses recherches top secrètes à Los Alamos (Projet Manhattan) à ses années de professorat à Caltech, Richard Feynman s'est illustré comme un grand passeur de sciences toujours en agitation. Il a été récompensé d'un Nobel de physique en 1965 pour ses recherches sur la théorie de l'électrodynamique quantique relativiste. Très sollicité pour ses talents de vulgarisation, Feynman s'est toujours montré attentif et ouvert aux débats scientifiques. Son influence sur la physique actuelle n'a pas encore été épuisée (théorie des cordes, etc.).

Aller plus loin : Ses célèbres cours de physique sont à présent intégralement en ligne. Bien sûr, on retrouve également ses écrits à la BU Sciences : une bonne dizaine de cours publiés ainsi que divers ouvrages de vulgarisation.

Richard Feynman à la maison : Feynman Why We Did It and What We Left Out par KLGreenNYC licence CC BY-SA

 

Crédit photo :
"Feynman diagram", par Hollandhoodie, licence Creative Commons BY-ND
"Feynman : Why We Did It and What We Left Out" par KLGreenNYC, licence Creative Commons BY-SA