-Cochrane Clinical Answers (CCA). Les CCAs est une base de données agissant comme une porte d’entrée facile de lecture, condensée et concentrée cliniquement sur la recherche rigoureuse émanant des revues systématiques Cochrane. Elles sont conçues pour être pratiques et informer la prise de décision au point de soins. Chaque Cochrane Clinical Answer contient une question clinique, une réponse courte et une occasion d’examiner au plus près les preuves des revues Cochrane les plus pertinentes. Les preuves sont affichées dans un format convivial, mêlant narration, chiffres et graphiques.
- Le registre méthodologique Cochrane (CMR : Cochrane Methodology Register)qui contient les références bibliographiques d'articles, d'ouvrages et d'actes de conférences traitant de la méthodologie des revues systématiques, ainsi qu'un registre prospectif des études méthodologiques. Les articles proviennent de MEDLINE et d'une recherche manuelle dans les journaux papiers.
- La base d'évaluation des technologies de la santé (HTA : Health Technology Assessment Database) qui, elle, rassemble les études évaluant les technologies de la santé achevées et en cours dans le monde, notamment leurs implications médicales, sociales, éthiques et économiques en santé. L'objectif de cette base est de favoriser la qualité des soins et une meilleure gestion des coûts de la santé.
- La base d'évaluation économique du NHS (NHS EED : NHS Economic Evaluation Database). Face à des ressources limitées en santé, les décideurs doivent bénéficier d'informations fiables concernant les effets et les coûts des interventions dans le domaine de la santé. Cette base apporte une aide à la décision en identifiant de façon systématique les évaluations économiques parues dans le monde entier, en évaluant leur qualité selon une méthodologie rigoureuse et standardisée, afin de souligner leurs forces et leurs faiblesses.
A la BU Saint-Denis Droit-Lettres, les disciplines de l’Art, du Droit, de l’Economie et de la Gestion vous proposent de nouveaux abonnements :
Alternatives non-violentes. Revue de recherche et de réflexion. Ce trimestriel traite de dossiers, d’initiatives d’actes solidaires, et est rédigé par des militants du terrain, des pédagogues et des chercheurs.
- référence dans le catalogue Papangue
- A emprunter dans le secteur Sciences politiques / 320 ANV
Découvrir le site de la revue Alternatives non-violentes
Question(s) de management ? Cette revue scientifique paraît 3 fois par an, valorise le travail de recherche sur le management.
La version électronique est disponible sur la base en ligne Cairn, (connexion à distance avec vos logins).
- référence dans le catalogue Papangue
- Où le lire ? rayon Gestion / 658 QUE En savoir plus sur le site de Question(s) de management ?
Sang-froid : Justice, investigation, polar. Ce trimestriel propose des chroniques judiciaires et intrigues-enquêtes policières.
Au menu du numéro actuellement disponible à la BU, des articles sur Johnny Hallyday, le cyberharcèlement, la « French Connection », un dossier sur la prostitution.
Pour les amateurs de polar, « Sang-froid » propose également de nombreuses critiques de littérature policière mais aussi de documentaires ayant trait au monde de la justice sous toutes ses facettes.
- référence dans le catalogue Papangue
- Où l’emprunter ? espace « Salle de presse »
Le site de la revue «Sang-froid »
Pour vous y retrouver dans les espaces de la BU Saint-Denis Droit-Lettres :
Collections Arts : 2e étage
Collections Droit, Gestion et Sciences politiques : 1er étage
Salle de presse : rez-de-chaussée
Les revues et magazines sont, en majorité, empruntables pendant 1 semaine, n’hésitez pas à demander aux bibliothécaires pour les conditions d’emprunt.
L’Atlas d’Anatomie Humaine de Visible Body, véritable référence générale et primée en anatomie humaine, est un outil de visualisation en 3D et d’apprentissage utilisé pour manipuler et explorer les différents systèmes du corps humain et notamment :
• Musculaire
• Urinaire
• Nerveux
• Circulatoire
• Reproducteur
• Sens
• Respiratoire
• Endocrinien
• Squelettique
• Digestif
• Lymphatique
• Tégumentaire
Il contient plus de 4 000 structures anatomiques et couvre à la fois l’anatomie systémique et régionale.
Le mois de mai inspire la créativité tout autour de la culture : la poésie, le cinéma, la musique à travers des festivals un peu partout en France et dans le monde.
Exposition "A chaque danse ses histoires" du 2 au 31 mai 2018
Des ateliers d'initiation : hip-hop, salsa, danse orientale, modern jazz et danse sportive.
Des happenings
Les initiations auront lieu de 15h à 16h en salle d'exposition de la BU Droit-Lettres :
mercredi 2 mai : Dancehall
vendredi 11 mai : Hip-hop
mardi 15 mai : Dancehall
jeudi 17 mai : Danse orientale
mardi 22 mai : Kizomba
mercredi 30 mai : Salsa
Ateliers gratuits. Inscription à l'accueil de la BU.
La danse à travers les médias dans la presse mais également sur la chaîne ARTE qui nous propose dans le cadre de ses émissions « Entrez dans la danse ! » A voir, à découvrir en mettant à l’honneur les grands noms de la danse à travers : danses classiques, chorégraphies contemporaines, battles de danses Hip-Hop, Charleston, Swing, etc … pour vous permettre d’observer le mouvement et le langage du corps sur toutes ses formes.
Il y en aura pour tous les goûts.
CC0 - Pixabay
La danse exprime au plus profond de notre corps et de notre esprit une sensation de bien-être, une liberté de mouvement mais également une sensualité que l’on retrouve dans la danse indienne et orientale.
Voici 2 liens pour approfondir vos connaissances sur cet art d’Anne-Laure Garrec. (chercheuse en histoire de l’art)
La danse se raconte également par l’art-thérapie. Discipline thérapeutique qui pratique l’expression corporelle en lien avec la psychothérapie.
Et pour finir la danse est à elle seule tout un poème.
La danse est le plus sublime,
le plus émouvant,
le plus beau de tous les arts,
parce qu’elle n’est pas une simple traduction ou
abstraction de la vie ;
c’est la vie elle-même.
Poème de Henry Havelock Ellis (médecin et psychologue britannique)
Afin de compléter cet article, nous avons à votre disposition sur place toute une bibliographie non exhaustive concernant ouvrages, DVD & articles de presse à la BUDL et nous remercions également la BU Tampon pour le prêt de ces documents.
Article rédigé en collaboration avec Sylvie Mastaglie, chargée du fonds Arts de la BU Saint-Denis Droit-Lettres
La Bibliothèque Universitaire de Droit-Lettres-Océan Indien (BUDLOI) vous propose, via des billets de blog, de découvrir ou redécouvrir son personnel et ses missions. Vous aviez déjà pu faire la connaissance de certains d'entre eux. Ce mois-ci, c'est Emma qui se prête au jeu de l'interview !
Bonjour Emma. Peux-tu te présenter ? Emma C. : Bonjour, je m'appelle Emma et je suis arrivée récemment à la Bibliothèque Universitaire Droit-Lettres-Océan Indien, en janvier 2018, sur un poste divisé en deux grandes missions principales : d'une part la formation des usagers, de l'autre l'aide au développement de l'archive ouverte de l'Université de la Réunion (HAL-Réunion).
Avant de revenir sur tes missions actuelles, peux-tu nous présenter brièvement ton parcours ? E. : Je ne me suis pas tout de suite dirigée vers les métiers de la documentation puisque j'ai d'abord passé une licence de littérature comparée à l'Université de La Réunion. Ce n'est qu'en 2013 que je me suis spécialisée en passant le Diplôme d’Établissement "Cadre opérationnel de la Documentation et des Bibliothèques" à l'ENSSIB de Lyon.
Après ce D.E, je suis revenue à la Réunion et j'ai obtenu un poste de Documentaliste au Parc National de La Réunion à la Plaine des Palmistes. J'y suis restée 2 ans avant de rejoindre la BUDLOI.
Le Centre de ressources documentaires du Parc National de La réunion
Quelles étaient tes missions au Parc National ? E. : C'était plutôt un mélange entre communication et documentation avec beaucoup de relationnel. Il était essentiel d'être capable d'aller vers les gens. Je travaillais en lien avec les chercheurs de l'établissement qui avaient un gros besoin de veille. Je réalisais, par exemple, des revues de presse sur les thématiques du parc: la biodiversité, la faune/la flore, les parcs nationaux,...
Pour en revenir à tes missions actuelles en BUDLOI : pourrais-tu nous dire concrètement ce que tu fais ? E. : Concernant le volet formation, je participe à la création des formations. Les thématiques sont variées. Par exemple, nous construisons en ce moment une formation à destination des doctorants sur le thématique du Droit d'Auteur. Je fais bien sûr également partie de l'équipe des formateurs et j'assure moi-même certaines séances.
Côté archive ouverte, je participe au référencement des publications scientifiques des chercheurs de l'Université de La Réunion. Cela permet d'offrir au chercheur une visibilité, de valoriser son travail et de le faire connaître. Nous constatons d'ailleurs que les étudiants sont très demandeurs de ce type de publications.
A côté de cela, je participe également au service public et aux chantiers divers de la bibliothèque (le chantier Dewey par exemple).
Qu'est ce que tu aimes dans ton métier ? E. : J'aime le contact avec les gens. Et c'est ce qui se passe sur mon poste actuel car j'occupe des fonctions où le relationnel est primordial. Il faut oser aller au contact. De façon général j'aime les missions axées communication/pédagogie.
Et en dehors du travail ? E. : Et bien justement, j'en profite surtout pour être ... dehors ! J'aime la randonnée et les voyages. Je suis également passionnée par l'illustration et la bande dessinée. C'est pourquoi j'ai intégré l'association locale de Bande dessinée "Le Cri du margouillat" il y a quelques années. Et il m'arrive de pouvoir mixer tout cela en réalisant des carnets de voyages !
Concert dessinée à l'occasion du festival Rock à la Buse à la Cité des Arts, en compagnie d'autres membres de l'association du Cri du margouillat. (Moniri M'BAE, Michel FAURE)
Du 23 avril au 26 mai 2018, la Galerie de la BU du Tampon présente
"Série2", une exposition des oeuvres de Sébastien Blum
Vous êtes invités au vernissage le vendredi 27 avril 2018 à 17h30
Pour la série2, nous sommes en mer, sur un bateau qui pourrait être un grand voilier. A l'image de notre société, ce bateau connaît des périodes paisibles en mer, mais aussi des tempêtes. Au cours de l'une de ces tempêtes, le bateau percute quelque chose contenant une substance orange et se met à couler lentement. Tout coule mais la substance nous maintient en surface. Le mobilier se retrouve immergé dans cette substance. Le temps se met à ralentir ou peut-être est-ce la substance qui durcit ? Avant que tout disparaisse, englouti par la mer, nous en aurons pour des mois, des années peut-être et nous voilà avec toute cette matière, que pouvons-nous en faire ? Laisser couler et regarder ou tout transformer et couler en beauté ? J'ai opté pour la seconde solution.
Sébastien Blum
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon 117 avenue du Général Ailleret
97430 Le Tampon
Tél. accueil : 0262 57 95 67
Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à 12h
Cette chronique est la première d’une série autour du projet de web-journalisme itinérant Science vagabonde.
Vers une homogénéisation de la culture scientifique ?
Tout scientifique est un voyageur dans l’âme.
Qu’il voyage physiquement ou à travers son écran, le scientifique a besoin de connaître le monde extérieur pour collecter ses données, les analyser et les diffuser.
Au cours des siècles, le développement technologique a amené les chercheurs à repousser leurs frontières de plus en plus loin. Jadis reclus dans des bibliothèques universitaires locales, Internet leur donne désormais accès à l’ensemble de la connaissance scientifique mondiale. L’automobile, le train, puis l’avion, offrent la possibilité de se rendre à des congrès aux quatre coins du monde.
Pour communiquer avec des chercheurs de plus en plus éloignés physiquement, mais aussi culturellement, le scientifique a de plus en plus recours au « globish », cette version rudimentaire de l’anglo-américain utilisée par des locuteurs de tous les pays. Comme l’explique Rainer Enrique Hamel :
« Autour de l’an 2000, on établit que 82 % des publications en sciences sociales et humaines et 95 % des publications en sciences dites naturelles paraissent en anglais, à présent seule langue hypercentrale. »
Un monde de diversité et de spécificités
Alors que nous nous trouvons à l’aube d’une ère nouvelle, où la communication permet à chaque individu d’être connecté au reste du monde, nos habitudes et notre mode de vie demeurent néanmoins tributaires de notre environnement culturel. Nous voyons et pensons le monde à travers notre culture. La production des connaissances scientifiques, oscillations permanentes entre observations et réflexions, est donc spécialement sujette à l’influence de nos propres codes culturels. Cette idée est clairement défendue par Thomas S. Kuhn, dans La structure des révolutions scientifiques. Selon lui, les opinions et choix des scientifiques seraient au contraire tributaires de leurs croyances, expériences et visions du monde.
Alors, dans un monde où l’ouverture sur le monde est boostée par les nouvelles technologies, dans quelle mesure restons-nous influencés par nos cultures respectives ?
Le voyage comme outil de compréhension
Répondre à cette question implique d’observer la manière dont se font les sciences en différents endroits du monde. En d’autres termes, il s’agirait de prendre les sciences comme constante et de faire varier le facteur culturel. C’est cette idée que Mariana Díaz et moi souhaitons mettre en pratique à travers le projet Science vagabonde.
Mariana, ma compagne, est journaliste. Après quelques expériences dans différents médias en France et au Mexique, son pays d’origine, elle s’est spécialisée dans le web-journalisme et les nouveaux formats numériques. Quant à moi, ingénieur de formation, j’ai eu l’occasion de connaître le monde de la recherche scientifique de l’intérieur en effectuant un doctorat en Sciences du Bois et des Fibres à l’Université de Lorraine. Nous nous sommes rencontrés en 2011, lors d’un semestre universitaire à Santiago du Chili. Tous deux passionnés de médiation scientifique, la question de la place des sciences dans la société est un sujet qui nous unit.
En créant Science vagabonde, nous avons décidé de nous lancer dans un tour du monde de plusieurs années qui nous permettra de rencontrer les acteurs de la culture scientifique des différents pays : ceux qui produisent le savoir scientifique (les chercheurs), ceux qui facilitent sa diffusion (les médiateurs scientifiques) et ceux qui en bénéficient (le grand public). Nous espérons ainsi dresser un état des lieux des relations sciences-sociétés à travers la planète.
Une communauté autour des sciences
Afin de partager notre expérience auprès du plus grand nombre, nous réaliserons des web-reportages tout au long du voyage. Ces contenus enrichis (vidéos interactives, photos 360°…) seront régulièrement diffusés sur notre site Internet.
Notre premier reportage est actuellement en cours de tournage à La Paz, dans le nord-ouest du Mexique. Une communauté de pêcheurs travaille en étroite collaboration avec des chercheurs pour apporter des réponses locales à un problème mondial : la protection des ressources marines. Ce reportage mettra en lumière la manière dont s’articulent les relations entre le monde de la pêche traditionnelle et celui de la recherche.
Outre ce partage d’expérience auprès de la communauté Internet, nous souhaitons également communiquer à échelle locale. Cette communication locale pourra prendre diverses formes : interventions dans des écoles, participation à des événements de médiation scientifique… Partager notre expérience auprès des locaux nous permettra non seulement d’émettre des informations, mais aussi d’en recevoir. De quelle manière le grand public perçoit-il les sciences ? Quelle image se fait-il de la recherche ? Ces différentes rencontres publiques enrichiront notre aventure.
La découverte de la médiation scientifique dans différents pays nous semble également être un point essentiel de Science vagabonde. Grâce au voyage, de nouvelles formes de partage des sciences vont s’ouvrir à nous. Nous souhaitons profiter de cette situation d’itinérance pour créer du lien entre médiateurs de différents horizons et, pourquoi pas, devenir catalyseurs d’idées et de rencontres !
Tout comme les sciences, le voyage réserve son lot de surprises et d’étonnements. Mes prochaines chroniques me permettront donc de partager avec vous nos ressentis et réflexions en tant que médiateurs scientifiques voyageurs.
En attendant, nous sommes ouverts à vos commentaires, questions et suggestions. Notre itinéraire prévisionnel est assez souple. N’hésitez pas à nous transmettre vos contacts scientifiques à l’étranger ! Retrouvez plus d’informations sur notre site Internet et suivez nos premiers pas dans ce voyage autour des sciences !
L’association Sciences Réunion organise la 18ème édition du Festival du Film Scientifique du 13 au 21 avril 2018 dans toute l’île de la Réunion.
Il est le premier événement cinématographique dédié aux sciences à La Réunion.
Vitrine des meilleurs films scientifiques récents et également espace de promotion des réalisations locales, cette manifestation proposera au public près d’une cinquantaine de films qui seront projetés dans les médiathèques de l’île, dans les établissements scolaires et à la BU Tampon.
Du 16 au 20 avril 2018, la BU Tampon vous propose son programme de projection de films.
Venez nombreux !
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon
117 avenue du Général Ailleret
97430 Le Tampon
Tél. accueil : 0262 57 95 67
Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à 12h
SpringerLink propose l'ensemble des revues éditées par Springer dans toutes les disciplines universitaires, soit plus de 1250 revues en ligne en sciences, techniques et médecine et en sciences humaines et sociales ( Liste des titres Springer ).
L'abonnement se fait via une négociation nationale, qui engage l'université sur plusieurs années, et qui est aujourd'hui dans l'impasse avec un risque de coupure des accès à court terme (cf. notre précédent billet du 29/03/2018).
Voici quelques éléments pour mieux comprendre la situation
La raison principale mise en avant porte sur une divergence d'approche économique : le modèle économique du fournisseur ne prend pas en compte la demande d'une baisse tarifaire de l'offre, demande justifiée par l'augmentation des articles en open access dans les revues Springer.
Les autres arguments avancés sont la baisse générale des consultations et le peu de titres de revues consultés par rapport à la collection complète (environ un tiers).
Et, s'il y a bien une augmentation du nombre d'articles publiés, la question de la qualité des articles se pose (1).
Où en est-on? Le point sur les accès aux publications Springer
Pour l'instant les accès ne sont pas coupés et Springer et Couperin se déclarent encore ouverts à la discussion...
Nous conservons de manière pérenne l'accès à toutes les archives jusqu'en 2014 inclus (par les droits acquis ISTEX).
En cas de coupure d'accès, nous conserverons, pour les années 2015 à 2017, les accès aux archives de nos "titres souscrits".
Suivant les années et les revues, certains articles publiés chez Springer peuvent être également disponibles via d'autres bases en ligne, gratuites ou souscrites par les BU. Le plus simple est d'interroger la liste A-Z des revues en ligne de l'université. Ou de contacter vos BU : nous sommes là pour vous accompagner.
Nous vous tiendrons informés de l'évolution de la situation.
Pour plus d'informations, vous pouvez nous contacter : docelec@listes.univ-reunion.fr
(1) : On peut par exemple consulter la liste des retraits de publication qu'ont dû opérer les éditeurs suite à des problème de qualité sur le site spécialisé Retraction Watch.
Image d'après Martin Kenny (Safety Bunting Cliche, licence CC BY NC SA)
Du 9 au 30 avril 2018, la BU Sciences expose les photos du collectif EEA VulPaRE 2016 pour un "Voyage des regards pluridisciplinaires - Toliara Madagascar 2016"
Le Collectif photographique EEA VulPaRE 2016 est une initiative de deux participants - Mickaël Uger et Isabel Urbina-Barreto - de la 2ème Ecole d'été australe interdisciplinaire sur la Vulnérabilité du Patrimoine Récifal qui s'est déroulée à Toliara (Madagascar) du 7 au 18 novembre 2016.
Dans le but de valoriser l'expérience humaine et professionnelle, les réalisateurs souhaitent montrer la diversité des visions au sein du groupe de scientifiques qui abordent un même sujet : le patrimoine récifal.
Cette exposition rassemble 31 photographies des auteurs issus de différentes disciplines (biologie, écologie, droit, anthropologie, économie, géographie) prises au cours des activités de terrain réalisées dans le sud-ouest de Madagascar.
C'est un voyage dans une nouvelle démarche d'apprentissage par la recherche interdisciplinaire.
La BU Sciences, c'est ici : Campus du Moufia
15 avenue René Cassin
97400 Saint-Denis
Tél. Accueil : 0262 93 86 04
Horaires : du lundi au vendredi de 8h à 19h / le samedi de 8h à 12h
Ce 2 avril 2018, Serge Gainsbourg aurait eu 90 ans. Pour découvrir la biographie de l'artiste, auteur - compositeur - interprète, voici une sélection de documents, d'émissions radio, et d'articles parus dans la presse :
Repéré pour vous 2 livres...
Gainsbourg / Gilles Verlant (Albin Michel, 2000) empruntable à la BU Droit-Lettres - 782.42 VER
La page Culture du Figaro consacrée à Gainsbourg et publiée le 2/04/2018
Le flambeur de Pascal, article d'Emmanuel Tibloux paru dans Libération.fr (31/03/2018) : retour sur une séquence qui a marqué les téléspectateurs de l'émission "Sept sur Sept" sur TF1 en 1984
La BU des Sciences vous remercie de votre patience ! Les collections de BIOLOGIE, BOTANIQUE et ZOOLOGIE sont réorganisées, rangées et vous allez vite vous y repérer.
Chaque ouvrage des rayons est passé entre les mains de l'équipe de la BU des Sciences : il a été recoté et, si c'est un manuel de cours ou un ouvrage de vulgarisation, il affiche désormais clairement son année d'édition.
Vous cherchez l'édition la plus récente? Elle vous sautera aux yeux avec son nouvel habillage.
Vous étiez perdus dans l'organisation de la collection? Nous en avons appliqué une plus claire, que vous retrouverez affichée à l'avant des rayons.
* La génétique des populations? Elle a enfin sa place bien à elle, entre les livres sur la génétique et ceux consacrés à la biologie évolutive et à l'évolution. Trouvez-là en 576.58
Collections recotées, élimination d'ouvrages trop anciens, meilleure visibilité : voilà ce qui était en jeu et explique le flou provisoire dans les collections ces dernières semaines.
Autre nouveauté : les EXCLUS DU PRÊT ont disparu des ces rayons. L'immense majorité des ouvrages est empruntable pour les durées habituelles et une toute petite partie est consultable sur place ou empruntable une semaine.
C'est désormais au rayon de la CHIMIE que les choses bougent...
La BU du Tampon vous propose du 30 mars au 30 avril 2018 sa sélection thématique pour la commémoration des 45 ans de la mort de Pablo Picasso le 8 avril 1973.
Enseigner l'histoire des arts / Daniel Lagoutte et François Werckmeister (Hachette, 2017) - Activités d'arts plastiques à l'école / Alain Saey (Retz, 2017)
Les trois musiciens / Véronique Massenot, Vanessa Hié (l'Élan vert | SCÉRÉN-CNDP-CRDP, 2012)
Pablo Picasso / Ingo F. Walther (Taschen, 1986) - Pablo Picasso (Taschen, 1993)
Matisse Picasso / catalogue d'exposition organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée Picasso, le Centre national d'Art et de Culture Georges Pompidou (Tate publishing | Réunion des musées nationaux | Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, 2002)
DVD :
Le mystère Picasso / Henry-Georges Clouzot (Arte France développement ; Gaumont vidéo, 2007)
Ebooks accessibles sur la plateforme Numérique Premium :
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon 117 avenue du Général Ailleret
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Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à12h
Portrait d'Hypatie d'Alexandrie, par Jules Maurice Gaspard (1908) - image libre de droit
Dans le cadre de l'exposition en cours en BU Sciences, quatre personnes ont été interrogées sur leur parcours : comment embrasse-t-on une carrière scientifique aujourd'hui, quelles difficultés ont été surmontées, etc. Vous trouverez des éléments de réponses en écoutant les interviews d'Aurore, Nathalie, Priscilla et Taïna.