Tout au long de l'année universitaire, les BU de l'Université de La Réunion habillent leurs murs de façon artistique.
3 expositions sont actuellement en cours :
Créationmosaïc : à chacun son style
Claire Tomietto et ses élèves nous font découvrir leur univers coloré inspiré par la mosaïque.
L'exposition est programmée à la BU Tampondu 20 août au 22 septembre 2018. Vernissage : vendredi 30 août 2018 à 17h
La galerie est ouverte au public du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 et le samedi de 8h à 12h.
L'Université de La Réunion en images
Exposition photographique pour découvrir les campus sud et nord depuis 1982 jusqu'à aujourd'hui.
C'est à la BU Saint-Denis Droit-Lettresdu 16 août au 15 septembre 2018. La BU est ouverte du lundi au vendredi de 7h30 à 19h et le samedi de 8h à 12h.
Carnets de voyage
D'après le livre : "Carnets de voyage, mode d'emploi", d'Antonia Neyrins (Éditions Sépia).
Il n’est pas nécessaire d’entreprendre de grands voyages pour réaliser des carnets : un billet de train ou un ticket de train, de métro, sont souvent suffisants.
L’auteur « carnettiste» chevronné, nous fait partager sa passion et nous ouvre sur la création et le merveilleux.
C'est à la BU Saint-Denis Sciencesdu 27 août au 30 septembre 2018. La BU est ouverte du lundi au vendredi de 8h à 19h et le samedi de 12h à 16h.
C'est l'heure de la nouvelle rentrée universitaire. Pour accompagner vos différentes journées de rentrée, voici un bref rappel de ce que proposent les bibliothèques de l'université.
Tout est gratuit pour les étudiants et les personnels de l'université, profitez-en !
Vous avez l'habitude de travailler en mode numérique ? Ou bien peut-être préférez-vous parcourir les livres imprimés et prendre des notes manuscrites ? Vous faites les deux ? Les Bibliothèques de l'université sont faites pour vous.
Livres et ebooks, revues et e-revues, BD, DVD, presse numérique ou imprimée, thèses, mémoires,...
et aussi aide et services personnalisés sur place ou en ligne
=> retrouvez l'intégralité de l'offre des bibliothèques sur le site web des BU : http://bu.univ-reunion.fr
Consulter en ligne des revues scientifiques, de la presse numérique, des livres électroniques, des bases de données (construction, normes, Techniques de l'Ingénieur) : de chez vous, avec votre compte numérique et le site web des BU
Demander de l'aide : sur place, dans l'une des 6 bibliothèques de l'université, ou bien en ligne
La BU Saint-Denis Sciences a acheté en 2018 des romans scientifiques. Il est encore temps pour vous de venir les emprunter pour vos vacances. Voici la sélection des bibliothécaires :
Des éclairs / Jean Echenoz (Ed. de la Loupe, 2011)
On parle des Bibliothèques Universitaires de La Réunion dans le Journal des étudiants (supplément du JIR* juin 2018).
Gratuites, ouvertes à tous, elles font partie de la boîte à outils de vos études pour soutenir votre réussite (documentation spécialisée, manuels, formations, multiples services et l'aide des bibliothécaires).
Liens utiles pour trouver livres, revues, articles, thèses ainsi que pour découvrir les services des BU :
Opération "Prêt-vacances" du 18 juin au 3 septembre 2018
Comme chaque année avant les grandes vacances, les @bu974 vous permettent d'emprunter pour plus longtemps. Et comme l'année dernière, vous pouvez emprunter plus de documents : remplissez vos sacs à dos.
Opération "Prêt Vacances" : nombre illimité d'emprunts du lundi 18 juin au lundi 3 septembre 2018.
Le principe est simple :
empruntez à partir du lundi 18 juin
et rendez vos documents jusqu'au lundi 3 septembre 2018 dernier délai.
vous pouvez emprunter autant de documents que vous voulez 🙂
Et vous trouverez chaussures à vos pieds que vous préfériez la littérature, les bandes dessinées, la vulgarisation scientifique, le cinéma ou une période historique.
Simplification du service "Faire venir un document"
Depuis le 4 juin 2018, les services Navette et Réservation ont fusionné pour n'en faire qu'un : vous souhaitez un document de votre BU ou un document d'une autre BU, il suffit de le Réserver via le catalogue Papangue.
Vous pouvez réserver un document disponible en rayon ou emprunté par un autre lecteur : vous devrez bien indiquer la BU où vous souhaitez emprunter le document.
Tous les jours, les demandes de réservation sont traitées par les bibliothécaires et les ouvrages mis de côté à l'accueil de la BU ou envoyés dans la BU où vous souhaitez les récupérer.
Exposition des photographies des lauréats du Marathon PhotoRaid 2018
à la BU Saint-Denis Sciences du 12 juin au 20 juillet 2018.
Le Marathon PhotoRaid 2018 s'est déroulé sur 24 heures du mardi 3 avril au mercredi 4 avril autour de 10 thèmes.
Le jury a retenu 11 photographies pour les 10 thèmes. Il affiche son coup de coeur pour 3 photographies hors concours.
Nous vous rappelons les thèmes :
jour : Il était une fois | FéminUN | Ombre | RedDengue : Raid Dingue : Raide Ding | Lontan nuit : La nuit je mens (Alain Bashung) | Colère | Vide | Toi...Moi | Nuit blanche
PhotoRaid 2018 a été initié et réalisé par des collègues de l'UFR Sciences et Technologies en partenariat avec le Service Art & Culture et la BU Saint-Denis Sciences.
Merci et félicitations à tous les participants, étudiants et personnels.
Cette exposition a été présentée à l'UFR Sciences et Technologies du 15 mai au 9 juin 2018.
Commémoration des 192 ans de la mort de Jean-Frédéric Oberlin (1740-1826), décédé le 1er juin 1826.
Né à Strasbourg le 31 août 1740 et décédé à Le Ban-de-la-Roche (Bas-Rhin) le 1er juin 1826.
Pasteur protestant d'inspiration morave qui succède à Stuber... Il développe, en même temps, une multitude d'initiatives sociales (amélioration de l'agriculture, introduction de l'industrie du tissage, construction de routes, hygiène, mutuelles, etc.) et une éducation systématique. Celle-ci commence dès trois ans : les enfants sont réunis autour de "poêles à tricoter" et se livrent à diverses activités. Oberlin introduit, dès cinq ans, la lecture et le calcul. Il poursuit, ensuite, en s'appuyant sur le goût des enfants pour le jeu (il invente de nombreux jeux et jouets pédagogiques) et pour la nature (le jardinage et la botanique sont, à ses yeux, des activités éducatives essentielles). Mais Oberlin va également jusqu'à organiser de la formation pour adulte. Son œuvre, circonscrite d'abord dans sa paroisse de Waldersbach, est véritablement "révolutionnaire" (source : site Les pédagogues)
Sur CAIRN : Oberlin Jean-Frédéric, « Ouverture », Le Télémaque, 2006/2 (n° 30), p. 7-8. DOI : 10.3917/tele.030.0007.
Sur Persée : Chalmel Loïc. Jean-Frédéric Oberlin, pédagogue révolutionnaire?. In: Revue française de pédagogie, volume 116, 1996.
N° Thématique : Les lycées. L'éducation physique et sportive. pp. 105-118.
Sites internet : des articles sur Jean-Frédéric Oberlin sur :
Vikidia - L’encyclopédie des 8-13 ans que chacun peut améliorer !
Wikipédia - L'encyclopédie libre que chacun peut améliorer
Du 28 mai au 13 juillet 2018, la Galerie de la BU Tampon présente
"Gris Bouilles" de Sam
Vernissage le 31 mai 2018 à 17h
précédé d’un atelier d’écriture à partir de 15 heures
(carton d'invitation)
SAM nous invite à la découverte d’un monde étrange et poétique où frayent le réel et l’imaginaire.
La démarche & l’univers artistique de SAM nous ouvrent un monde étrange où poésie rime avec liberté. A chacun, adulte comme enfant, /de s’y frayer un chemin/d’y frayer son chemin.
Au cours de l’atelier d’écriture, à partir d’un tableau librement choisi chacun pourra se raconter une histoire, son histoire….
Emmanuelle Loyer, « Mai 68 et l’histoire : 40 ans après », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique [En ligne], 107 | 2009, mis en ligne le 01 janvier 2012
INA – Archives de l’Institut national de l'audiovisuel
Les bibliothèques de la Ville de Paris et le Comité d'histoire de la Ville de Paris présentent un site retraçant la chronologie des événements de Mai 68. Manifestations étudiantes, figures importantes, idées, cinéma, héritage politique et économique, tous les sujets y sont abordés. La médiathèque musicale de Paris s'en mêle avec une playlist ambiance Mai 68.
Du 23 avril au 26 mai 2018, la Galerie de la BU du Tampon présente
"Série2", une exposition des oeuvres de Sébastien Blum
Vous êtes invités au vernissage le vendredi 27 avril 2018 à 17h30
Pour la série2, nous sommes en mer, sur un bateau qui pourrait être un grand voilier. A l'image de notre société, ce bateau connaît des périodes paisibles en mer, mais aussi des tempêtes. Au cours de l'une de ces tempêtes, le bateau percute quelque chose contenant une substance orange et se met à couler lentement. Tout coule mais la substance nous maintient en surface. Le mobilier se retrouve immergé dans cette substance. Le temps se met à ralentir ou peut-être est-ce la substance qui durcit ? Avant que tout disparaisse, englouti par la mer, nous en aurons pour des mois, des années peut-être et nous voilà avec toute cette matière, que pouvons-nous en faire ? Laisser couler et regarder ou tout transformer et couler en beauté ? J'ai opté pour la seconde solution.
Sébastien Blum
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon 117 avenue du Général Ailleret
97430 Le Tampon
Tél. accueil : 0262 57 95 67
Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à 12h
Cette chronique est la première d’une série autour du projet de web-journalisme itinérant Science vagabonde.
Vers une homogénéisation de la culture scientifique ?
Tout scientifique est un voyageur dans l’âme.
Qu’il voyage physiquement ou à travers son écran, le scientifique a besoin de connaître le monde extérieur pour collecter ses données, les analyser et les diffuser.
Au cours des siècles, le développement technologique a amené les chercheurs à repousser leurs frontières de plus en plus loin. Jadis reclus dans des bibliothèques universitaires locales, Internet leur donne désormais accès à l’ensemble de la connaissance scientifique mondiale. L’automobile, le train, puis l’avion, offrent la possibilité de se rendre à des congrès aux quatre coins du monde.
Pour communiquer avec des chercheurs de plus en plus éloignés physiquement, mais aussi culturellement, le scientifique a de plus en plus recours au « globish », cette version rudimentaire de l’anglo-américain utilisée par des locuteurs de tous les pays. Comme l’explique Rainer Enrique Hamel :
« Autour de l’an 2000, on établit que 82 % des publications en sciences sociales et humaines et 95 % des publications en sciences dites naturelles paraissent en anglais, à présent seule langue hypercentrale. »
Un monde de diversité et de spécificités
Alors que nous nous trouvons à l’aube d’une ère nouvelle, où la communication permet à chaque individu d’être connecté au reste du monde, nos habitudes et notre mode de vie demeurent néanmoins tributaires de notre environnement culturel. Nous voyons et pensons le monde à travers notre culture. La production des connaissances scientifiques, oscillations permanentes entre observations et réflexions, est donc spécialement sujette à l’influence de nos propres codes culturels. Cette idée est clairement défendue par Thomas S. Kuhn, dans La structure des révolutions scientifiques. Selon lui, les opinions et choix des scientifiques seraient au contraire tributaires de leurs croyances, expériences et visions du monde.
Alors, dans un monde où l’ouverture sur le monde est boostée par les nouvelles technologies, dans quelle mesure restons-nous influencés par nos cultures respectives ?
Le voyage comme outil de compréhension
Répondre à cette question implique d’observer la manière dont se font les sciences en différents endroits du monde. En d’autres termes, il s’agirait de prendre les sciences comme constante et de faire varier le facteur culturel. C’est cette idée que Mariana Díaz et moi souhaitons mettre en pratique à travers le projet Science vagabonde.
Mariana, ma compagne, est journaliste. Après quelques expériences dans différents médias en France et au Mexique, son pays d’origine, elle s’est spécialisée dans le web-journalisme et les nouveaux formats numériques. Quant à moi, ingénieur de formation, j’ai eu l’occasion de connaître le monde de la recherche scientifique de l’intérieur en effectuant un doctorat en Sciences du Bois et des Fibres à l’Université de Lorraine. Nous nous sommes rencontrés en 2011, lors d’un semestre universitaire à Santiago du Chili. Tous deux passionnés de médiation scientifique, la question de la place des sciences dans la société est un sujet qui nous unit.
En créant Science vagabonde, nous avons décidé de nous lancer dans un tour du monde de plusieurs années qui nous permettra de rencontrer les acteurs de la culture scientifique des différents pays : ceux qui produisent le savoir scientifique (les chercheurs), ceux qui facilitent sa diffusion (les médiateurs scientifiques) et ceux qui en bénéficient (le grand public). Nous espérons ainsi dresser un état des lieux des relations sciences-sociétés à travers la planète.
Une communauté autour des sciences
Afin de partager notre expérience auprès du plus grand nombre, nous réaliserons des web-reportages tout au long du voyage. Ces contenus enrichis (vidéos interactives, photos 360°…) seront régulièrement diffusés sur notre site Internet.
Notre premier reportage est actuellement en cours de tournage à La Paz, dans le nord-ouest du Mexique. Une communauté de pêcheurs travaille en étroite collaboration avec des chercheurs pour apporter des réponses locales à un problème mondial : la protection des ressources marines. Ce reportage mettra en lumière la manière dont s’articulent les relations entre le monde de la pêche traditionnelle et celui de la recherche.
Outre ce partage d’expérience auprès de la communauté Internet, nous souhaitons également communiquer à échelle locale. Cette communication locale pourra prendre diverses formes : interventions dans des écoles, participation à des événements de médiation scientifique… Partager notre expérience auprès des locaux nous permettra non seulement d’émettre des informations, mais aussi d’en recevoir. De quelle manière le grand public perçoit-il les sciences ? Quelle image se fait-il de la recherche ? Ces différentes rencontres publiques enrichiront notre aventure.
La découverte de la médiation scientifique dans différents pays nous semble également être un point essentiel de Science vagabonde. Grâce au voyage, de nouvelles formes de partage des sciences vont s’ouvrir à nous. Nous souhaitons profiter de cette situation d’itinérance pour créer du lien entre médiateurs de différents horizons et, pourquoi pas, devenir catalyseurs d’idées et de rencontres !
Tout comme les sciences, le voyage réserve son lot de surprises et d’étonnements. Mes prochaines chroniques me permettront donc de partager avec vous nos ressentis et réflexions en tant que médiateurs scientifiques voyageurs.
En attendant, nous sommes ouverts à vos commentaires, questions et suggestions. Notre itinéraire prévisionnel est assez souple. N’hésitez pas à nous transmettre vos contacts scientifiques à l’étranger ! Retrouvez plus d’informations sur notre site Internet et suivez nos premiers pas dans ce voyage autour des sciences !
L’association Sciences Réunion organise la 18ème édition du Festival du Film Scientifique du 13 au 21 avril 2018 dans toute l’île de la Réunion.
Il est le premier événement cinématographique dédié aux sciences à La Réunion.
Vitrine des meilleurs films scientifiques récents et également espace de promotion des réalisations locales, cette manifestation proposera au public près d’une cinquantaine de films qui seront projetés dans les médiathèques de l’île, dans les établissements scolaires et à la BU Tampon.
Du 16 au 20 avril 2018, la BU Tampon vous propose son programme de projection de films.
Venez nombreux !
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon
117 avenue du Général Ailleret
97430 Le Tampon
Tél. accueil : 0262 57 95 67
Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à 12h
Du 9 au 30 avril 2018, la BU Sciences expose les photos du collectif EEA VulPaRE 2016 pour un "Voyage des regards pluridisciplinaires - Toliara Madagascar 2016"
Le Collectif photographique EEA VulPaRE 2016 est une initiative de deux participants - Mickaël Uger et Isabel Urbina-Barreto - de la 2ème Ecole d'été australe interdisciplinaire sur la Vulnérabilité du Patrimoine Récifal qui s'est déroulée à Toliara (Madagascar) du 7 au 18 novembre 2016.
Dans le but de valoriser l'expérience humaine et professionnelle, les réalisateurs souhaitent montrer la diversité des visions au sein du groupe de scientifiques qui abordent un même sujet : le patrimoine récifal.
Cette exposition rassemble 31 photographies des auteurs issus de différentes disciplines (biologie, écologie, droit, anthropologie, économie, géographie) prises au cours des activités de terrain réalisées dans le sud-ouest de Madagascar.
C'est un voyage dans une nouvelle démarche d'apprentissage par la recherche interdisciplinaire.
La BU Sciences, c'est ici : Campus du Moufia
15 avenue René Cassin
97400 Saint-Denis
Tél. Accueil : 0262 93 86 04
Horaires : du lundi au vendredi de 8h à 19h / le samedi de 8h à 12h
La BU du Tampon vous propose du 30 mars au 30 avril 2018 sa sélection thématique pour la commémoration des 45 ans de la mort de Pablo Picasso le 8 avril 1973.
Enseigner l'histoire des arts / Daniel Lagoutte et François Werckmeister (Hachette, 2017) - Activités d'arts plastiques à l'école / Alain Saey (Retz, 2017)
Les trois musiciens / Véronique Massenot, Vanessa Hié (l'Élan vert | SCÉRÉN-CNDP-CRDP, 2012)
Pablo Picasso / Ingo F. Walther (Taschen, 1986) - Pablo Picasso (Taschen, 1993)
Matisse Picasso / catalogue d'exposition organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée Picasso, le Centre national d'Art et de Culture Georges Pompidou (Tate publishing | Réunion des musées nationaux | Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, 2002)
DVD :
Le mystère Picasso / Henry-Georges Clouzot (Arte France développement ; Gaumont vidéo, 2007)
Ebooks accessibles sur la plateforme Numérique Premium :
La BU Tampon, c'est ici : Campus du Tampon 117 avenue du Général Ailleret
97430 Le Tampon
Tél. accueil : 0262 57 95 67
Horaires : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30 / le samedi de 8h à12h