Le ski possède une langue qui permet d’exprimer l’action et l’émotion. Une langue bien vivante constituée de détournement de sens de mots communs (ça fume…), de combinaisons inédites de termes (bloquer au piquet…), d’emprunts à des langues étrangères (farter pour le scandinave…), de troncations (inter…) ou de néologismes (chablater…). Bref, un espéranto original qui permet aux sportifs de se comprendre et que nul ne doit ignorer s’il veut faire bonne figure avec son Génépi sur la terrasse du restau d’altitude.