Von La Réunion nach Deutschland

 

Brandenburger Tor (Image by Oscar fernando Melo Cruz from Pixabay)

 

Nach ihrem Deutschstudium an der Université de La Réunion absolviert Vanessa einen Freiwilligendienst in Bochum, der vom DFJW angeboten wird. Sie arbeitet für das AKAFÖ und das Romanische Seminar an der Universität Bochum. Kennengelernt hat sie die Stadt allerdings schon zuvor in einem Kurs von Herr Hargasser über das Ruhrgebiet.

Auch einige Studierende aus Bochum hatte sie vor ihrer Ankunft durch die Austauschprogramme zwischen den beiden Universitäten kennengelernt. « Generell sind neue Bekanntschaften schließen integraler Bestandteil eines Freiwilligendiesntes », meint sie. « Da sind zum einen die Menschen, die an eurer Einsatzstelle arbeiten, aber auch die anderen französischen und deutschen Freiwilligen, die ihr während den Vorbereitungsseminaren kennenlernt. »

Den Freiwilligendienst beim DFJW können junge Erwachsene zwischen 18 und 25 Jahre absolvieren, selbst wenn sie keine Arbeitserfahrung haben und nur über Grundkenntnisse in der deutschen Sprache verfügen. Der Arbeitsalltag kann dabei ganz unterschiedlich aussehen. Vanessa hat zwar den Master in Übersetzung abgeschlossen, organisiert jetzt allerdings kulturelle Veranstaltungen an der Uni. « Das ist eindeutig nicht mein Fachgebiet! », erzählt sie mit einem Augenzwinkern. « Die Herausforderung nehme ich trotzdem gerne an. »

Das Ruhrgebiet gefällt ihr besser als erwartet und es bleibt genug Zeit, um die Region zu entdecken. « Das Wetter ist vielleicht nicht so schön wie auf La Réunion, aber die Menschen sind sehr gastfreundlich. Ich kann mir nichts Besseres vorstellen! », berichtet sie. « Wenn es also Leute gibt, die die Erfahrung nächstes Jahr oder in den Folgejahren ausprobieren wollen, kann ich sie nur ermutigen! »

Après ses études d’allemand à l’Université de La Réunion, Vanessa effectue un service servique à Bochum offert par l’OFAJ. Elle travaille pour l’AKAFÖ et le Séminaire de Romance à l’Université de Bochum. Cependant, elle a déjà appris à connaître la ville lors d’un cours de M. Hargasser sur la région de la Ruhr.

Elle avait également rencontré quelques étudiant.es de Bochum avant son arrivée grâce aux programmes d’échange entre les deux universités. « En général, faire de nouvelles connaissances fait partie intégrante du volontariat », dit-elle, « il y a les personnes qui travaillent à votre stage, mais aussi les autres volontaires français.es et allemand.es que vous rencontrez lors des séminaires de préparation ».

Le volontariat de l’OFAJ est ouvert aux jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans, même s’ils n’ont aucune expérience professionnelle et seulement une connaissance de base de l’allemand. Le travail quotidien peut être très différent. Vanessa a obtenu une maîtrise en traduction, mais elle organise maintenant des événements culturels à l’université. « Ce n’est clairement pas mon domaine de compétence », dit-elle avec un clin d’œil. « Néanmoins, je suis heureuse de relever le défi. »

Elle aime la région de la Ruhr plus que prévu et elle a suffisamment de temps pour découvrir la région. « Le temps n’est peut-être pas aussi beau qu’à La Réunion, mais les gens sont très accueillants. Je ne peux rien imaginer de mieux », rapporte-t-elle, « alors s’il y a des gens qui veulent tenter l’expérience l’année prochaine ou les années suivantes, je ne peux que les encourager ».

 

Délphine und Océane waren vor zwei Jahren im Rahmen eines DAAD-Programms in Bochum. « Insgesamt fanden wir Deutschland kälter als La Réunion, nicht nur was das Klima angeht. », berichten sie. « Wir hatten den Eindruck, dass auch die Leute ein wenig verschlossener waren als auf La Réunion. » Für sie war es eine Herausforderung, auf die Leute zuzugehen und sie anzusprechen. Es hat sich aber gelohnt, ihre Komfortzone zu verlassen: Während ihres Aufenthaltes haben sie viel über die deutsche, aber auch über ihre eigene Kultur gelernt.

« Uns ist aufgefallen, dass die deutschen Studierenden viel selbstständiger sind als auf La Réunion, zum Beispiel bei der Kurswahl. », erzählen sie. Auch im Alltag bewegten sich die Bochumer*innen freier, weil das Busnetz besser ausgebaut ist. So konnten die beiden nicht nur viele interessante Museen besuchen und auch vom kulturellen Angebit profitieren. « Besonders gefallen hat uns der Weihnachtsmarkt. Und die Zoos, die gibt es nicht auf La Réunion. », meint Océane. « Es war wirklich sehr cool, dort echte Giraffen zu sehen! », ergänzt Délphine.

Délphine et Océane étaient à Bochum il y a deux ans dans le cadre d’un programme du DAAD. « Dans l’ensemble, nous avons trouvé l’Allemagne plus froide que La Réunion, pas seulement en termes de climat », rapportent-ils, « nous avons eu l’impression que les gens étaient aussi un peu plus fermés qu’à La Réunion ». Pour eux, c’était un défi d’approcher les gens et de leur parler. Cependant, il valait la peine de sortir de leur zone de confort : Pendant leur séjour, ils ont beaucoup appris sur la culture allemande, mais aussi sur la leur.

« Nous avons remarqué que les étudiants allemands sont beaucoup plus indépendants qu’à La Réunion », nous disent-ils. Ils l’ont remarqué non seulement dans les choses de tous les jours comme le choix des cours. Les étudiants de Bochum se déplacent également plus librement dans la vie quotidienne car le réseau de bus est mieux développé. Les deux hommes ont donc pu non seulement visiter de nombreux musées intéressants, mais aussi profiter de l’offre culturelle. « Nous avons particulièrement aimé le marché de Noël. Et les zoos, ils n’en ont pas à la Réunion », dit Océane. « C’était vraiment cool de voir de vraies girafes là-bas », ajoute Délphine.

 

Cédric hat seinen Bachelor in Germanistik im letzten Jahr abgeschlossen. Jetzt lebt er in Freiburg, einer kleinen Stadt im Süden Deutschlands. Mit seinem « FranceMobil » besucht er eine Schule nach der anderen, um den Schüler*innen mit Frankreich bekannt zu machen. Wie er Gefallen an der deutschen Sprache gefunden hat, was ihm gut an seinem Studium gefallen hat und was genau er mit dem FranceMobil macht erzählt er in diesem Beitrag.

Cédric a fini sa licence d’allemand l’année dernière. Maintenant il vit à Freiburg en Allemagne. Avec sa voiture du FranceMobil, il va d’une école à l’autre pour présenter la France et le français aux élèves du sud-ouest d’Allemagne. Il raconte comment il a eu le goût de l’allemand, ce qui était bien et moins bien pendant ses études à la Réunion, ce qu’il fait exactement avec le FranceMobil et ce qu’il compte faire plus tard. Voilà ses impressions.