Le tennis possède une langue qui permet d’exprimer l’action et l’émotion. Une langue bien vivante constituée de détournement de sens de mots communs (dérouler, serrer…), de combinaisons inédites de termes (jouer l’homme, prendre la ligne…), d’emprunts à des langues étrangères (ace, slice pour l’anglais…)… Un espéranto original que nul ne doit ignorer s’il veut faire bonne figure au café des sports.