Lorsque arrive le mois de juillet, Tour de France oblige, le parler cyclisme est à l’honneur. Une langue qui permet d’exprimer l’action et l’émotion dont regorge l’épreuve. Une langue constituée de détournement de sens (exploser…), de combinaisons inédites (chatouiller les pédales…), de mots étrangers (gruppetto pour l’italien…), ou de néologismes (bordurer…). Un espéranto qui permet aux coureurs de se comprendre et que nul ne doit ignorer s’il veut faire partie de la bonne échappée.