« Hannah Arendt » au CinéCampus

Am 8. März war der Internationale Frauentag. Grund genug für das Team des CinéClub, das Kinoprogramm des Monats März den Frauenrechten zu widmen. Das Germanistikinstitut, welches die Organisation der Filmvorführung am letzten Montag jeden Monats übernimmt, zeigt einen Film, der von dem Leben und Werk einer Frau erzählt und gleichzeitig rechtliche Fragen aufwirft.

Hannah Arendt, oft als wichtige Philosophin des 20. Jahrhunderts gefeiert, bezeichnete sich nicht als der Philosophie zugehörig, sondern dem Berufsfeld der politischen Theorie. Die 1906 in Deutschland geborene Jüdin flieht 1933 aus dem nationalsozialistischen System in die USA. Dort erfährt sie, dass Adolf Eichmann, der für die Deportation von Millionen Juden in Vernichtungslager verantwortlich war, in Jerusalem vor Gericht gestellt werden soll. Sie bewirbt sich beim New Yorker, um vor Ort über den Prozess zu berichten. Ihre bei dieser Arbeit aufgestellte Theorie zur „Banalität des Bösen“wird zunächst als Artikelserie publiziert und schließlich als Buch. Die Leserschaft reagiert unverzüglich auf die Publikation, wobei die Meinungen geteilt sind.

Filmvorführung am 21.03.2016 um 18 Uhr in der Salle Vladimir Canter. Eintritt kostenfrei.

Le 8 mars était la journée internationale de la femme, d’où le choix du CinéClub de consacrer la programmation du mois entier aux droits des femmes. Le département d’allemand, qui s’occupe de la dernière projection de film de chaque mois, a choisi un film qui parle d’une femme et qui soulève un certain nombre de questions juridiques .

Hannah Arendt, souvent considérée comme philosophe importante du 20ème siècle, situait son métier non pas dans la philosophie, mais dans le cadre des sciences politiques. Née en Allemagne en 1906, cette étudiante juive fuit le system des Nazis en 1933. Installée aux Etats­-Unis, Hannah Arendt apprend la tenue du procès d’Adolf Eichmann à Jérusalem. L’homme est responsable de la déportation de millions de juifs vers les camps d’extermination. Elle propose ses services au New Yorker afin de couvrir le procès sur place. Par la suite, elle publie une série d’articles de haut niveau sur sa nouvelle théorie «la banalité du mal». Ses textes sont cependant très controversés.

Projection le 21.03.2016 à 18h à la Salle Vladimir Canter. Entrée gratuite.

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